Je t'aime comme la brindille qui pousse de travers
Comme la fourmi qui se planque dans la boîte de pâté Olida
Tu es le sang qui coule dans mon nez quand il n'y a plus de kleenex
Même pas de Sopalin, ou d' essuietout
Comme Chérard le Matou
Tu es les toiles de mes nuits
Tu es la dent qui perfore l'opercule du Yop à la banane
Je suis le chemin qui serpente et je vois un rat crevé bouffé par des insectes d'hiver
Car c'est pas l'printemps Ghislain...
Voilà, c'est bien pourri non ?
Écrire la poésie la plus pourrie possible.
Hubert Canonici- Messages : 296
Date d'inscription : 01/03/2014
Age : 56
Localisation : Bonifacio
Re: Écrire la poésie la plus pourrie possible.
C'est mon point, c'est ton point, entre les deux ça frise
Frisons les poils huilés à en pomper des vitres
Maroquinier du lustré de vos cuirs souples
Les impôts se pointent, je pisse du vinaigre
Je fixe mes bourses, je fixe mon point c'est tout
Je rase la plante des pieds aux femmes à barbes
J'appuie sur les sonnettes à larmes, oublie et tombes
Qui était t'on avant l'impact, nul ne saura
Tous ces minis écrans, Satan zoom l'image
À ses côtés, la belle femme se nomme la mort
Tu la vois puis tu tombes, tu rases les pavés humide, c'est la nuit.
Frisons les poils huilés à en pomper des vitres
Maroquinier du lustré de vos cuirs souples
Les impôts se pointent, je pisse du vinaigre
Je fixe mes bourses, je fixe mon point c'est tout
Je rase la plante des pieds aux femmes à barbes
J'appuie sur les sonnettes à larmes, oublie et tombes
Qui était t'on avant l'impact, nul ne saura
Tous ces minis écrans, Satan zoom l'image
À ses côtés, la belle femme se nomme la mort
Tu la vois puis tu tombes, tu rases les pavés humide, c'est la nuit.
PRESTANCE
Infinité du ciel
Catacombes sordides de ma vie
Sans jamais en voir une
Aïe !!
Infinité du ciel
Catacombes sordides de ma vie
Ta silhouette ?
QUEUE DE COMETE
Sans jamais en voir une
Mordre les univers qui tombent et qui font mal
Aïe !!
WTF ?
J'admire les effets spéciaux....
Mais j'ai pire.
Mais j'ai pire.
Mouliner de la bite des étincelles glabres
Écouter un vieux film pour ses jolis bruitages
Le bruissement des pas dans la neige, le parquet craque comme un délice
Mieux que dans la réalité, le faux bruit des faux pas monte bien plus haut
J'aime pas la vie, je respecte, je ne rêve plus
La soupe est froide, tant mieux, il me reste du rhum.
Écouter un vieux film pour ses jolis bruitages
Le bruissement des pas dans la neige, le parquet craque comme un délice
Mieux que dans la réalité, le faux bruit des faux pas monte bien plus haut
J'aime pas la vie, je respecte, je ne rêve plus
La soupe est froide, tant mieux, il me reste du rhum.
Pas mal ! Très Quartier Latin. Allez, j'en tente un cauchemardesque, dans le même esprit (ça fait un bien fou !).
Nous étions en terrasse,
Ton café était noir,
- Le mien sucré
Ravir les derniers jours, brûler demain nos nuits !
Crever d'espérances !
Noyer la Seine et tous les livres !
Nous pétrîmes la terre-fougasse,
Ton café était miroir,
- Le mien secret.
Nous étions en terrasse,
Ton café était noir,
- Le mien sucré
Ravir les derniers jours, brûler demain nos nuits !
Crever d'espérances !
Noyer la Seine et tous les livres !
Nous pétrîmes la terre-fougasse,
Ton café était miroir,
- Le mien secret.
Nous pétrîmes la terre-fougasse,
Ton café était miroir,
- Le mien secret.
Mais c'est pas pourri ça...c'est même très bien, vous avez perdu...
Ton café était miroir,
- Le mien secret.
Mais c'est pas pourri ça...c'est même très bien, vous avez perdu...
Je proteste énergiquement, Hubert. Cette strophe est minable, et votre "La soupe est froide, tant mieux, il me reste du rhum." est loin d'être aussi nul que vous le prétendez. Je demande un tiers impartial pour nous départager dans l'abjection.
Un tiers de réflexion, un bon tiers de comparaison, un bon tiers de classement, et alors, un grand tiers de jugement !
Mais dans un verre il n'y a que trois tiers !
Mais imbécile...ça dépend de la grosseur des tiers...
Mais dans un verre il n'y a que trois tiers !
Mais imbécile...ça dépend de la grosseur des tiers...
Manger une tête de chèvre avec un délégué syndical, non
Un groupe de hard rock trisomique ça acuponcture, le temps d'un café très chaud, pas plus
Le décret sur la réforme de mon cul je m'en essuie
Des yeux globuleux ça braque, puis, si l'expression est désintéressée et fidèle, j'adhère
Si sur une table de six y a deux cubis ça brise le biscuit, celui de l'assiduité
Si j'étais un oiseau j'en aurais bien à foutre d'enculer des mammouths
Un groupe de hard rock trisomique ça acuponcture, le temps d'un café très chaud, pas plus
Le décret sur la réforme de mon cul je m'en essuie
Des yeux globuleux ça braque, puis, si l'expression est désintéressée et fidèle, j'adhère
Si sur une table de six y a deux cubis ça brise le biscuit, celui de l'assiduité
Si j'étais un oiseau j'en aurais bien à foutre d'enculer des mammouths
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